le rei shiki au dojo

Le rei shiki, tout le monde connaît, c'est l'étiquette, le comportement à respecter au dojo ceci pour avoir un apprentissage optimum.
Cependant, je pense que ce n'est pas que ça, cette notion englobe bien plus : le respect de l'être (partenaire, professeur), le respect des règles dans le dojo (salut,...).
Ainsi lors d'une explication de technique il faut savoir écouter le sensei, le shihan, ou la personne faisant office de professeur sans faire de remarque pour capter toutes les nuances de la technique, dans une position respactable (seiza = dos droit, concentrer sur son hara, la tête dans les nuages mais les jambes enracinées).
En dehors du tatami respecter les lieux = ne pas parler trop fort, avoir l'esprit tourner vers le budo, si on veut se desaltérer prendre sa propre bouteille, ou demander au responsable du petit dojo si il y en a à prendre et si on peut en prendre, demander à avoir une boisson et la payer. Tout cei permet au responsable de le faire rapidement pour que lui aussi puisse rassembler tous son être vers le budo.
De plus il faut aider autant que possible la gestion du dojo (veiller à ce que les lumière soient éteintes, WC fermé, tatami propre,...)

Tous ceci, selon moi traduit le rei shiki, il y bien d'autres choses à dire dessus, j'attends vos réactions.

Mon trés FUSE

Je reconnais là ton attachement aux valeurs du Budo et le Rei Shiki en est une des bases.
Sans de bonne bases rien ne peux tenir debout durablement.
Dans l'école je me suis attribué volontairement au fil du temps , des tàches nombreuse et variées permettant a la majorité de se consacrer plus a l'apprentissage.
C'était a un moment ou l'école (RYU) se stucturait encore.
Chacun prend la place qu'il occupe!
Et ce n'est jamais une contrainte que de rendre service !
Il n'y a pas de place privilégiée , le fonctionnement et la convivialitée du Dojo appartiennent a chaques éléves.
Pas dans l'anarchie , mais en concertation avec un référent il a moyen de partager les tàches existentes ,d'en définir de nouvelles et ceci sans heurts.
D'utiliser les compétences ,d'investir celui qui le souhaites ,de partager le travail , ce qui fait le ciment de l'école et qui nous rend plus fort .
C'est la solidaritée ,le phénoméne d'appartenance.
Mais il faut que cela ce déroule dans un climat de respect et de confiance.
Un exemple : Je m'occuppe de la vente des boissons fraiches en cannettes et bien il m'arrive trop souvent de ne pas retrouver mon compte.
C'a veux dire que quelques 'un d'entre nous se servent sans se marquer sur une "ardoise" quand il n'ont pas d'argent sur eux.
Et bien figurez vous que c'est moi qui suis géné d'une part de réclamer ,et surtout je suis a court d'explication quand il me faut rendre les comptes a la trésoriére.
On ne sers rien sans demander au responsable ,ou alors on n'oublie pas de laisser une trace de son "achat".

Vous voyez tout commence et tout fini par le REI SHIKI.

Merci FUSE pour ce théme trés intéressant , et qui devrais succiter de trés nombreuse réactions!

Le responsable ce n'est pas toujours l'autre ,
Les meilleures régles sont celles que l'on commence a s'appliquer a sois méme.

Merci FUSE

A chacun de voir ce qu'il en est.

Merci mon Yayak, j'espère que d'autre repondrons.
Bisous mon ami

Excellent sujet Fuse,

Je vais me faire l’avocat du diable, nous autre Français sommes par défaut un peu brouillon.

J’ai bien conscience que parfois je fais l’idiot sur le tatami, un mec de presque 30ans qui se comporte comme un gamin.
Je ne suis pas désolé, je suis comme ça c’est dans ma nature, à ce sujet j’ai monopolisé une partie de mes neurones à la création du Koala Ryu …

Quoi qu’il en soit Fuse à raison à 100% et je baisse la tête de honte face à ses proposes sages et imprégné de bons principes.

Fuse je te promet que dès aujourd’hui je vais faire un effort pour être plus encore plus dans le Rei Shiki.

Quoi qu’il en soit, notre petit groupe d’anciens élèves nous sommes, dans l’ombre, une petite partie de l’âme du dojo en tout cas j’aime à le croire ?

Cela peut paraître con, mais si François était comme toi, il t'ennuirait très vite

Cela ne veut pas dire que tu es ennuyeux
Tu es Jonathan

Et François est François

S'il se mettait à changer du jour au lendemain uniquement pour te faire plaisir, il deviendrait ridicule à tes yeux (et sûrement aux nôtres aussi)

François fait sa route, tu fais la tienne; les deux se croisent en plusieurs points
Tu as autant à apprendre de lui qu'il a, comme tu le dis, à apprendre de toi

Ca ne t'empêche pas bien sûr de le chambrer de temps en temps, c'est ça l'amitié!!!



Pour revenir au sujet, pour moi le Rei Shiki c'est surveiller l'équilibre:
s'imposer un ordre quand tout est propice au bordel
se montrer chaleureux si l'ambiance n'est pas propice au partage

Le Rei Shiki représente donc toujours un effort : celui de ne pas se laisser emporter par l'ambiance autour du tatami pour rester concentré sur ce qu'on fait, que ce soit une ambiance de déconne (combien de séminaires aurait pu se transformer en teuf le samedi soir.....avant le cours de Bujutsu ido)
ou une ambiance ridiculement trop stricte comme on en voit dans certains dojos où les élèves se disent à peine bonjour (faut citer des noms: le cours de kung fu avec lequel nous partageons le dojo de Shorinji Kempo, "ils ont l'air si contents de se voir à chaque cours! Ils ont raison, on travaille tellement mieux quand on ne sourit pas." s.Albertini)

Ainsi pour moi, sortir une petite vanne sur le tatami (Shihan himself le fait) quand je m'entraîne avec quelqu'un qui fait la tronche pour lui redonner le sourire (et le sortir de ses pensées), c'est Rei Shiki
Faire le silence au salut alors que j'ai envie de continuer la discussion dans laquelle j'étais avec mon voisin, c'est aussi Rei Shiki

Rei Shiki, c'est l'effort de présence, de sortir du décor, de montrer qu'on est là, prêt à , , ou encore

C'est aussi, comme le dit Fusé, l'attention au petits détails qui nous permettent de nous concentrer sur ce qu'on fait (je ferme la porte des vestiaires maintenant, pour ne pas avoir la fermer un fois que je serai sur le tatami, ect...)

Jeudi dernier à la suite de la réunion avec Shihan le retour au dojo c'est mal passé. Car effectivement les anciens et tous les anciens ont confondu le dojo avec une foire au dindon. L'exemple prime sue les paroles où les écrits, il ne nous viendrai pas à l'idée de faire la mëme chose dans une église. Le sujet de François arrive à point nommé, le reî chiki s'applique aussi et surtout à l'extérieur du dojo. Sinon aucun intëret de pratiquer le Budo dans le cadre réstrint du dojo.
Ce qui n'exclus pas le fait de passer un bon moment ensemble.
Merci à tous et bonne pratique.

Mea Culpa waka Sensei !

Je reconnais que ce fut ce jour là mal interprété du fait que " Vous" veniez d'intervenir sur le silence pendant que nous étions en réunion.
A la décharge des participants a cette réunion dont j'étais!
Nous venions de sceller un acte fondateur!
A savoir la création et la matérialistion de l'association "Dojo Tanaka ".
Concients et fiers que nous étions d'avoir participés a un acte historique ,nous nous sommes effectivement fait remarquer a notre sortie ,emportés par la joie du moment!
Veuillez nous excuser Sensei .... chacun de nous a ordinairement un approche assez correct du Rei Shiki.





JiJi

intéressant cas auquel je n'ai pas assisté...

la réunion était-elle dans le dojo? (une assoss? ah yes?)

la sortie du dojo a été bruyante?

Eclairez moi sur la situation car cela me permettrait de parler d'une notion que je n'ai jamais vraiment compris et qui m'a toujours quelque peu chatouillé:

Les arts martiaux exigent un minimum de pratique en dehors du dojo, ainsi le pratiquant doit garder en l'esprit le budo dans son quotidien et pas seulement aux heures d'entraînement au dojo.
La notion du Rei Shiki en dehors du dojo est la chose qui m'a un peu toujours turlupiné (j'ai dans mes notes de séminaires, une définition du dojo : "lieu où on l'applique le rei shiki)

j'ai présenté plus haut ma vision du Rei Shiki tel que je l'applique dedans et en dehors du dojo.
Si la vision du " Rei Shiki en dehors du dojo" que tu reproches ne pas avoir été respectée à la sortie de la réunion signifie rester silencieux, calme, "respectueux", ne pas se faire remarquer, écouter le sempaï, cette définition est pour moi le "Rei Shiki dans le dojo"
car le calme, le silence, la soumission au plus âgé, ect... en dehors du dojo, je dis non. et je dis même merde.
Because I'm Antoine, I'm Français and I have not envie d'adopter une attitude contraire à ma nature.
Ce n'est pas parce que je pratique des arts martiaux traditionnels japonais que je dois forcément adopter l'attitude d'un moine zen dans ma vie de tous les jours!

Je respecte mon prochain, fais l'effort de ne juger personne, d'être une ceinture blanche parmi d'autres ceintures blanches, et reste ouvert aux gens parce que j'estime que vivant en société j'ai un devoir (et une envie) de présence et de partage pour autrui.
Tel est ma notion de Rei Shiki en dehors du dojo;
Je bois peu et jamais seul, fume un demi pet par mois, et n'attend pas les heures d'entrainements pour faire de l'exercice ou travailler mes katas
je ne vois pas ce qui, dans mon attitude à l'extérieur du dojo, pourrait nuire à ma pratique des arts martiaux

J'aimerais donc Waka Sensei que tu m'éclaires sur ta notion du Rei Shiki à l'extérieur du dojo, de façon à ce que je puisse dans une prochaine réponse m'excuser de cette soudaine agressivité probablement injustifiée (si ce n'est par six années de doute et de questionnement sur cette simple notion)

Dans un monde en perpetuel tournage en rond, oû tout est si rapide, déja pret, plus ou moins bio dégradable, ou plus ou moins merdique, il est bon de connaitre des constantes, des formes d'expression immuables, des points fixes qui balisent notre quotidien.
Le regard que l'on pose sur les choses est dependant de l' "orientation" que l'on lui donne, ou de son intention. Parfois l'autre nous parle, et la seule chose que l'on attend de lui, c'est qu'il finisse pour pouvoir, sans l'avoir ecouté, lui expliquer notre version des faits.
On trouve, en grandissant, plaisir à passer du temps avec tel ou tel autre. Il devient ami. Mais il n'est pas acquis. Et la vie de nous montrer que rien n'est definitif, et que tout change, ou que tout peut changer, sauf ce que l'on desire garder tel quel, ce qui nous concerne profondement, notre propre vision des choses. A en devenir fou, puisque l'on peut se suggerer et rendre réelles les visions necessaires a notre propre équilibre... A en devenir fou.

Ces pensées en vrac pour rejoindre un sujet qui me tient a coeur, c'est la constance de la forme Tanaka ryu du Kempo. J'aime le fait de retrouver inchangée à chaque cours, telle ou telle technique dans laquelle je tente avec plus ou moins de succes de me fondre, de m'oublier dans le geste... C'est un moment sécurisant bien au dela de l'aspect "auto defense"...

Mais que serait notre pratique sans le Reishiki, a quoi se resumerait elle ?
Viendrais je au dojo si c'était pour y trouver la même incivilité, les mêmes manques de respect que dans la vie de tout les jours ?

Le Reigi-saho, ou l' Etiquette, doit organiser le dojo en une société fonctionnelle, autour de la discipline, de l'attachement, du développement, du bon sens et surtout des bonnes manières.
Le reishiki, donc, est ce qui pourrait régir une vie en commun courtoise et civilisée. C'est en tout cas le fonctionnement que l'on peut retrouver dans les (vrais) dojos.
Malheureusement, les preceptes du reigi saho cités ci dessus sont aussi éloignés que possible des valeurs de merde qui guident la globalité. Des connards auraient pu me tuer sur la route en revenant du Dojo il y a quelques semaines, sous pretexte que la limitation à 70 kilometres heures ne leur convennait pas, voie unique, ils m'ont forcé à me rabattre en deux roues, et ils m'ont fait une queue de poisson bien sérrée, mais , pauv' connards, je m'y attendais...

Mais bref, tout ça pour dire, avec le moindre exemple que l'on peut prendre, et sans aller jusqu'à la dette du tiers monde, ou les extremismes galopants, que l'on pourrait souhaiter un monde avec des peuples tournés vers l'echange, souriants et acceuillants, mais si c'est utopique, au moins la courtoisie...

Aimé

Ce n'est pas seulement le monde qu'il s'agit de changer ; mais l'homme.
[ André Gide ]
- Extrait de Les nouvelles nourritures

De se que je viens de lire j’en conclue ceci … en fait je suis un peu d’accord avec tout le monde sur le fond mais par forcement la forme.

La tradition japonaise est la fondation de notre dojo, celui que nous aimons temps, le rei shiki est indissociable de notre pratique sans quoi nous risquons d’en perdre notre identité.
Avons-nous envie de ressembler à des pratiquants de Okinawa Kempo (d’un point de vue du rei shiji) ?

Donc pour moi le respect de la tradition est indissociable de notre amour des arts martiaux sans ça il ne s’agirait plus alors que d’un simple sport de combat.

Mais ne soyons pas plus extrême que les extrémistes !

Et pour se que tu dis Aimé Nems sur les cons je suis assez d’accord avec toi.
Et crois moi parfois j’ai bien envie de peter un câble et de leurs niquer leurs sales gueules.
J’ai de moins en moins envie de fermer mon clapper mais je dois rester zen, un PV pour coup et blessure ne serait pas le bien venu dans mes économies pour le voyage en Chine.
Mais ma boitte à colère même si j’ai dû prendre une tuperware n’est plus assez hermétique !

a Seb

Il y a un mécanisme d'auto-défense au fond de chaque être humain, qui le pousse à refuser de se laisser détruire par l'inévitable.

[Michelle Guérin]

Le fait de devenir japonais est un non sens...
Mëme si notre arts est japonais il n'en demeure pas moins que nous sommes français. A nous de faire un Reî-shiki qui nous ressemble.
Gassho!!!!!

Et pour les Beilges tu fait quoi?

ah voilà, on s'est compris waka sensei

Afin nous sommes tous d’accord !

Nous avons eu aujourd'hui au dojo, un très bon cas du rei shiki à la française comme l'a si bien appelé waka sensei : suite à ma bétise de montrer des choses hors propos à des débutants, shihan m'a "conseillé" de faire dix pompes, or Pierre qui a émis une remarque, m'a acompagné. Résultat, nous avons fait tout les deux fait des pompes en pleines crise de rire....

Ouaip, ma remarque, c'était juste, "quoi ??? Seulement dix pompes !!!"

Hahaha, merci Shihan !!! C'est vrai qu'on a bien rigolé...

[François, je crois apres mure reflexion que c'est ta forme de Omoté Nage qui est la plus proche de la version officielle pratiquée par Shihan...]

Je ne sais pas il faut étudier ça, mais al tienne est pas mal non plus, malgré cette petite différence de position de main, le principe reste inchangé, je pense.

Ca y est, pour résumer tous mes paragraphes précédents, j'ai trouvé ma définition du Rei Shiki tel qu'il peut s'appliquer au dojo et à l'extérieur

Rei Shiki : Donner de soi pour que tous les gens présents passent un moment riche et agréable

C'est un peu pompeux mais elle exprime bien ma vision

"Si vous êtes là, c'est que vous l'avez décidé" sensei Dang

Malheureusement, il arrive parfois que cela ne soit pas le cas, et parfois, ce sont les parents qui envoient leur gosse au dojo, et là...
Et aussi, et d'une maniere générale, pour le Reishiki, il ne faudrait pas perdre de vue Ce que l'on apprend au dojo: un art Japonais, donc sérieux à mort, un art de paix mais aussi de combat, un art de survivre (dans l'absolu) et un art de vivre. Et si on ne perd pas de vue ces notions, sans pour autant se prendre trop au sérieux, il nait un respect naturel du lieu et du moment. C'est mon avis en tout cas.

Mais sinon, dans l'ensemble, je suis d'accord avec la version de Senseî Dang.

Bonjour,

Je crois que l'intervention de Shihan jeudi dernier va peut-être modifier notre perception du rei shiki...en vue de prochaines visites avec des délégations japonaises.
J'en profite aussi pour souligner un point que Shihan nous a fait remarquer également: A savoir le fait de parler pendant l'exécution d'une technique!
Je ne suis qu'un pauvre ver de terre dans la pratique du Nihon Kempo (quoiqu'un ver de terre c'est très souple!) mais c'est ce qui m'a surpris (et énervé) depuis mes 6 mois de pratique. Je ne sais pas si c'est mon égo qui souffre trop mais avouez que de se faire "corriger" par un ceinture jaune, avec qui on ne travail même pas, lors de l'exécution d'un technique avec un autre partenaire, ça fait bizarre!
La critique est utile si elle émane de celui qui a le savoir. Mais souvent il n'y a pas besoin de parler pour l'expliquer. Que fait Shihan lorsque l'on exécute mal une technique? Il nous la fait! Pas besoin de long discours.
Parfois (souvent) certains poussent le vice à corriger une technique qu'ils ne maitrise même pas!

J'aimerai savoir si mon avis est partagé et si ceux qui enseignent peuvent nous faire par de leurs points de vue.

Très bonne remarque de ta part. c'est un défaut que l'on retrouve chez beaucoup de jeune pratiquant, de vouloir être "maître" à la place du Maître.
Au dojo, seule la personne qui dirige le cours peut corriger les élèves. A la rigueur à sa demande des plus "anciens" peuvent apporter non une correction mais leur point de vue (car la réponse est seulement entre les mains de Shihan).
Ensuite lors d'un travail à deux, chaque partenaire peut apporter son aide à son camarade, et il vaut mieux qu'il se limite à leur partenaire et non aux personnes d'à côté.
De toute façon, le geste prime sur la parole, et pour ceux qui peuvent transmettre le savoir (sur demande de Shihan) un bon mouvement vaut mieux qu'un long discour.
Cela est peut-être difficile, moi le premier, j'ai un travail à faire de ce côté là.

Il me semble que lorsque l'on commence à saisir la subtilité d'une technique, on s'aperçoit avec un regard plus large que l'on s'en éloigne; car ce qu'il y a derrière n'est qu'une infime part de ce qui la comporte. Le travail à faire étant en tout est pour tout devant soi. Je comprend la réaction de Petrus dans l'échange qu'il peut avoir avec d'autres élèves.
Cependant, l'envie de progresser ensemble sur la technique est une démarche d'entraide est représente à mon gout quelquechose de très important. Alors bavarder autour de la technique, c'est vrai que c'est typiquement Français. Nous qui ne pouvons nous empêcher de théoriser tout ce que l'on fait. Pire , avant même de le savoir et de pratiquer dans certains cas.